La capitale du monde
Paco fraichement arrivé à Madrid se trouve de petits boulots pour assurer sa subsistance dans la capitale espagnole. Comme beaucoup de jeunes espagnols de son age, Paco souhaite plus que tout devenir torero. La tauromachie est une passion, mais aussi, on s’en rend compte en lisant cette nouvelle, un moyen de promotion sociale. Ernest Hemingway. Nous trace le portrait de cette jeunesse espagnole désœuvrée, pour laquelle les dorures des costumes de toréros est un fol espoir pour les lâches, mais qui est accessible aux braves. Alors qu’il travaille comme serveur dans une pension de famille, Paco fait la connaissance d’Enrique, qui connait un peu les rudiments du métier. Enrique a abandonné l’espoir de toréer à cause de sa peur du taureau. Devant la détermination de Paco, il décide cependant de lui enseigner les bases du métier.
L’heure triomphale de Francis Macomber
La seconde nouvelle nous transporte en Afrique où l’on suit le safari d’un couple de riches américains, guidés par un baroudeur qui emmène les touristes à la chasse aux lions, buffles, rhinocéros et autre grand gibier. Mais l’atmosphère entre les trois personnages va rapidement se déliter lorsque, aux prises avec son premier lion, Francis Macomber va faire preuve de lâcheté : fuyant devant un lion blessé, il va se dévaloriser aux yeux de sa femme et de tous les autres personnages. Meurtri et blessé il décidera de se racheter en tuant un buffle mais encore une fois il manque de courage et d’assurance. Ce n’est qu’à la tout fin de cette histoire tragique que Macomber découvrira ce qu’est le courage.
Romans américains : A lire aussi