Après quelques semaines d’absence, me revoilà avec une chronique sur les cahiers secrets de la 5ème république, de Michèle Cotta. Mon reader m’a dénombré 900 pages dans ce tome 3. Ceci explique un peu mon éloignement de ce blog. Lorsque je fais un billet, c’est un livre que j’ai lu. Je ne sais pas comment font celles qui bloguent sur un livre de façon quasi quotidienne... Enfin j’ai peut être une petite idée, mais chut.
C’est le voyage d’un écrivain (avec un petit air de ressemblance avec Hemingway) avec une femme plus jeune que lui. Ils traversent les États Unis dans ce qui ressemble fort à fuite. Elle est insouciante et heureuse. Lui est préoccupé par la guerre civile espagnole qui se prépare.
La petite ville d’Ystad en Suède va connaitre son pire été en cette année 1994. C’est d’abord une jeune fille terrifiée qui préfère s’immoler par le feu, plutôt que d’être approchée par la police. C’est ensuite une série de meurtres barbares aux rituels étranges qui secoue la communauté. Le tueur emporte les scalps de ces victimes.
Un polar écrit par un ancien ministre de l’intérieur... voilà ce qui m’intéressait. J’attendais des révélations sur la sphère politique, sur les scandales économique ou que Jean-Louis Debré lève un coin de voile sur les affaires de sécurité, de terrorisme ou d’espionnage. Rien du tout !